Ce shooting d’Ezra Miller est ce que vous verrez de plus sexy aujourd’hui
Le shooting d’Ezra Miller pour le magazine Playboy n’est pas passé inaperçu la semaine dernière.
Non seulement ces clichés de Ryan Pfluger sont sexy, subversifs et super queers, mais ils jouent avec le genre d’une manière rarement vue chez d’autres acteurs mainstream.
Dans l’interview qui accompagne la séance photo, à l’occasion de la sortie des Animaux Fantastiques, l’acteur parle du mouvement #TimesUp, l’état de la politique américaine (« Si vous aimez l’histoire, vous savez quelle direction tout cela prend »), de son travail avec Johnny Depp (accusé d’avoir frappé son ex-femme Amber Heard), de sa sexualité quand il était enfant et de son penchant pour le poly amour.
En matière de sexualité et de relations amoureuses, l’acteur ne semble pas avoir de limites, ce qui cadre très bien avec les photos parues dans Playboy.
« J’essaie de trouver d’autres queers qui me comprennent immédiatement comme queer, avec qui je peux établir un lien quasi familial, et que j’aurais l’impression d’avoir épousé il y a 25 vies dès que je les ai rencontrés. » Puis le comédien développe le concept de « Polycule » pour « molécule poly amoureuse », qui désigne l’ensemble de ses partenaires sexuels ou non. « Et ensuite ils rejoignent la team, le polycule. Et je sais qu’ils vont aimer tout le monde dans le polycule, parce que nous sommes dans le polycule et que nous nous aimons énormément les uns les autres. »
A propos de sa vie sexuelle, Ezra Miller dit « J’ai davantage une pratique extatique, mais parfois je me tourne aussi vers la pratique instatique (des termes tantriques venant de sa lecture du Kama Sutra à un jeune âge), donc parfois je n’ai aucune relation sexuelle pendant longtemps parce que l’absence de sexe est aussi importante pour moi que le sexe ».
A propos de son personnage Credence Berbone dans les Animaux Fantastiques et de la manière dont celui-ci affecte sa propre vie sexuelle: « Je passe de longs moments sans sexe, seul, quand je joue Credence. Totalement seul, seul, seul, seul, seul. »
Voir plus d’images de la séance photo d’Ezra Miller pour « Playboy »:
